Les copains d’abord – Chafouin

Dernier épisode en date :

4 juillet 2024 (Détails à la fin de cet article)

Chronologie :

Bas les masques

31 janvier 2021

En toute transparence, vous trouverez ci-dessous les 2 courriels que Frank Dallain Maire délégué de Les Chéris, a adressé ce jour à l’équipe Allez Ducey et les 2 réponses qui lui ont été faites.

Vous pourrez constater que son souci de régulariser une situation à peut-être conduit la municipalité à abandonner une partie du domaine public à un propriétaire privé dans la plus grande confidentialité puisque le Conseil Municipal n’a pas été informé de cette opération. Nous ferons la demande de consulter ce dossier pour en connaître l’ampleur. Fidèle à notre engagement, nous vous en donnerons les résultats afin de vous permettre d’établir votre propre jugement.

Franck DALLAIN
31 janvier 2021 à 12:17

Monsieur,

Tout d abord je pensais qu’une personne censée prendrait de bonnes résolutions pour cette nouvelle année si triste pour 1ensemble de 1humanité,mais il n en est rien car pour cela il faut en être doté (d humanité…)

De plus lorsque vous voulez nous faire croire que vous défendez les intérêts des cherisiens, Il faudrait déjà que vous leur montriez un peu d intérêt au lieu de jouer les tribuns sur votre site où vous vomissez toute la haine que vous ressentez à l’encontre de la majorité.

Vous avez été assez clair en appelant votre site « allez Ducey allez Ducey « .le nom des chéris ‘ y figure même pas,sans doute pas assez stratégique electoralement parlant.
A noter aussi aucun candidat de votre liste pour le poste de maire délégué des Chéris preuve de votre profond désintérêt pour notre commune déléguée.

Pour revenir à votre questionnement sur le terrain contigu au presbytère,une nouvelle fois vous êtes hors sujet Ce terrain est déjà limité par une clôture en dur depuis des mois et la locataire n’en jouit pas du tout.

Cette parcelle a d ailleurs été longtemps en friche et donc en aucun cas les locataires ne devaient 1 entretenir.
Une fois de plus vous faites des histoires pour rien car dans cette affaire la municipalité est clean .

Il Ya d autres sujets beaucoup plus importants à traiter et je m étonne que vous en soyez à essayer à gérer les pelouses.

Dois-je dire à la locataire du presbytère de tondre aussi autour du boulodrome? Trêve de plaisanterie.

J espère avoir répondu à vos interrogations

Cordialement

F.Dallain

Courriel d’Allez Ducey
31 janvier 2021 à 17:25

Cher collègue,

Votre mémoire est sélective : le rejet de l’autre appartient à votre majorité. Qui a rejeté notre participation à la constitution d’une liste générale d’union pour le meilleur de notre commune ? Faut-il vous rappeler les nombreux dossiers, à commencer par celui du chemin de Champagne où avec vos amis, vous étiez bien étrangement absent devant les menaces d’un riverain qui s’était approprié un chemin communal. Ce chemin a été restitué au domaine public et ce n’est pas grâce à vous, malgré votre présence à l’époque au bureau de l’association.

Votre réaction épidermique en dit long sur vos objectifs : sclérosés dans les propositions et systématiques, panurgiques, dans vos votes. Vous ne savez qu’être dans la réaction quant aux propositions du groupe Allez Ducey.

Par exemple, qui a rejeté les différentes propositions du groupe Allez Ducey pour résoudre dans l’avenir les problèmes de santé du territoire de Ducey-Les-Chéris ? Votre volonté de faire tout, pourvu que la solution ne vienne pas de notre groupe municipal, vous a conduit dans la création illégale de cette douteuse association Médi-Sélune. La municipalité est-elle « clean » comme vous dites ?

Votre argumentaire est limité dans l’examen sémantique de notre nom de groupe « Allez Ducey » qui aurait oublié « Les Chéris ». Vous avancez dans l’infiniment petit, dont la devise de votre groupe majoritaire est « Agir Ensemble », « agir » on attend pour voir et « ensemble » on a vu.

Vous m’indiquez mon désintérêt personnel pour l’ancienne commune de Les Chéris. Je m’en tiendrai à vous rappeler la délibération 2018-10-12: Commune déléguée de LES CHÉRIS – Dénomination de rues et voies : « Après en avoir délibéré, le conseil municipal à l’unanimité approuve les noms de rues et voies proposés. Monsieur ROULAND remercie chaleureusement toutes les personnes ayant participé à l’opération et spécialement M. Patrick LEVOYER qui s’est particulièrement investi et a apporté une aide précieuse ».

Faut-il voir votre positionnement sur le différend entre riverains du chemin du Plessis et de la rue de la Cour comme une « plaisanterie » comme vous dites ? Un mur a été construit en partie sur le domaine public. Ceci est connu des autorités municipales dès le début sa construction qui s’est déroulée sur plusieurs mois. Sa hauteur importante nuit à la visibilité pour sortir du chemin du Plessis.

Qu’avez-vous fait monsieur le Maire délégué ? Réunir les deux parties pour tenter de trouver une solution ? Non. Dans votre grande sagesse la majorité municipale a installé un panneau Stop qui en plus d’être contestable quant à son marquage au sol, ne règle en rien les problèmes de visibilité. N’est-ce pas simple à comprendre ? Lorsqu’il m’arrive d’aller chez un oculiste pour des problèmes de vision, j’en ressors avec une paire de lunettes, pas avec un appareil auditif.

Le riverain lui a bien compris et vous en a fait la remarque. Il vous a même demandé dans un esprit d’apaisement de mettre un miroir en face du débouché du chemin du Plessis. Votre réponse m’a quelque peu amusé, « madame Labiche et monsieur Laporte ne veulent pas de miroir sur le territoire de la commune, ça ne s’est jamais fait ». Vous lui avez même proposé qu’il achète ce miroir à ses frais. Vous lui avez même sélectionné quelques modèles sur internet, avant de vous raviser auprès de lui pour cette bévue.

Comme vous dites « dans cette affaire aussi la municipalité est-elle clean ». Alors qu’elles sont vos propositions concrètes pour résoudre le problème, car il demeure, en dehors du silence imposé à chacun de nos courriels ? Il faudra bien se décider à le résoudre un jour.

Vous m’indiquez sous forme d’aveu de faiblesse « qu’il y a d’autres sujets beaucoup plus importants à traiter », alors je vous invite à méditer, en toute humanité, sur la délibération 2020-12-07 du 16 décembre 2020 du Conseil Municipal de Ducey-Les-Chéris, car elle est aussi illégale.

Ma proposition s’impose, entre autre à vous, car vous l’avez votée sans poser la moindre question. Il m’intéresse de savoir si votre vote a été formulé de façon « sensée » en ignorant cette illégalité ou bien « insensée » uniquement pour contrer l’équipe Allez Ducey ?

« Trêve plaisanterie » comme vous dites.

Cordialement

Patrick LEVOYER

Franck DALLAIN
31 janvier 2021 à 18:42

Comme d’habitude vous avez forcément raison

L autocritique n est décidément pas votre adage.

Sur le sujet sur vous aviez exposé sur le presbytère,je suppose que ma réponse a été assez explicite puisque que vous ne revenez pas dessus.

Par contre vous rebondissez sur un autre sujet au sujet de la rue du plessis.

Ce mur fait au préalable sans autorisation a été régularisée depuis.

Les services techniques de notre commune ainsi que les services départementaux y ont contribué.

Le riverain qui est plaignant a sollicité de son propre chef les services départementaux ainsi que dernièrement la gendarmerie de ducey.

Tous ces acteurs ont confirmé le caractère non dangereux de ce carrefour.

Tout maintenant se résume à une discorde de voisinage et il serait bien dommageable d y ajouter de l huile sur le feu .

J y ai joué un rôle de médiateur mais malgré cela on ne peut pas forcément  aboutir à un accord entre parties.

Courriel d’Allez Ducey
31 janvier 2021 à 19:37

Cher collègue,

Pourquoi ne poursuivez-vous pas cette intéressante conversation en mettant tous vos destinataires initiaux ? Pour répondre à votre question : Hélas non ! Je vous confirme que les services municipaux ont bien entretenu la pelouse du logement privatif communal de Les Chéris, ne vous en déplaise.

Quant à votre mission de « médiateur » elle est quand même un peu étrange quant vous demandez à l’une des parties d’acheter un à ses frais un miroir, poussant même votre délicatesse à lui faire une présélection sur internet.

Pour résoudre le problème, il vous appartient d’être juste et équitable. Encore une fois vous ne pouvez pas demander à l’un ce que vous refusez à l’autre. La discrimination n’est pas loin …

Alors comment interpréter votre phrase « Ce mur fait au préalable sans autorisation a été régularisée depuis » ? Je suis demandeur de toute pièce et document pour examiner cette régularisation, après réalisation. Décidément, ça devient une habitude.

Cela nous intéresse sérieusement de savoir si la municipalité a passé une convention bien particulière avec ce riverain. Car si c’est le cas, vous n’ignorez pas que ce mur est fait en partie sur le domaine public. A ce titre a-t-il été nécessaire à madame de Maire
– soit de se séparer d’une partie du domaine communal,
– soit l’amodier avec ou sans redevance,

En tout état de cause, le tout a été « régularisé » sans en faire part et donc sans aval du Conseil Municipal.

Je vous remercie donc pour cette précieuse information que je ne manquerai pas de mentionner dans ma demande de consultation de ce dossier auprès de madame le Maire.

Cordialement,

Patrick LEVOYER

Diffuse des ragots avant … de se démentir

Conseil Municipal du 17 janvier 2023

Question diverse n°2 du groupe Allez Ducey – Émondage sur le chemin communal des Essarts
Voici plusieurs semaines, un exploitant bordant le chemin communal des Essarts a élagué des arbres sur une longueur d’environ 200 mètres oubliant d’évacuer ses déchets. Le 16 décembre 2022, l’équipe Allez Ducey a fait part des ces désordres. L’exploitant concerné a maintenant enlevé tous les branchages. Les talus dont l’exploitant a largement taillé les branches des arbres sont-ils de propriété communale ou de sa propriété privée ?

De plus si les branchages obtenus appartenaient à la commune, n’était-il pas possible de les valoriser en les utilisant pour le chauffage géré par la Communauté d’Agglomération ?

Réponse
Monsieur Dallain indique que c’est l’exploitant de la dernière parcelle qui a procédé à cet élagage bien qu’il ne soit pas propriétaire. Les branches appartiennent aux différents propriétaires et non à la commune. Leur dépôt sur la voirie communale est justifié par la maladie de l’exploitant.

Le Maire-délégué excuse cet écart par le fait qu’aucun riverain ni exploitant n’est venu en mairie se plaindre mais : « on ne peut pas plaire à tout le monde ». Ceci est dû à un manque de confiance envers lui car c’est bien une personne qui connait bien les lieux qui en a fait le signalement auprès de l’équipe Allez Ducey qui s’est rendue sur place avant d’en faire part à madame le Maire.

Monsieur Dallain poursuit en rappelant que tout dépôt sauvage est interdit. D’ailleurs on lui aurait signalé un dépôt sauvage au bout du chemin de Cloche-Cul qu’il se promet d’aller voir. Son intervention est basée sur des ragots de village établis par une évidente jalousie.
Au-delà d’une provocation conditionnelle il aurait été plus judicieux, comme a pu le faire Allez Ducey en allant sur le chemin des Essarts, que monsieur le Maire-délégué vienne en priorité se rendre compte des réalités, avant de bâtir ses explications sur des « on m’a dit que » agrémentés de sous entendus qu’il a vite démentis …
Monsieur Dallain a promis de rechercher les origines et la nature des dépôts sauvages. L’équipe Allez Ducey ne peut que l’encourager à agir en ce sens.

Mine de rien …

Conseil Municipal du 4 juillet 2024

Question diverse n°4 du groupe Allez Ducey – Entretien des espaces verts
La commune entretient des espaces verts privés mais délaisse ses espaces verts publics comme le décrit ce courriel du 21 juin 2024 envoyé à madame le Maire et à monsieur le Maire-délégué de Les Chéris, resté sans réponse :

Madame le Maire, monsieur le Maire-délégué,

En complément à nos débats du dernier conseil municipal sur l’entretien d’espaces verts privés par nos employés communaux, je porte à votre connaissance un cas similaire qui s’est déroulé cet après midi dans le chemin de Cloche-Cul.
L’entreprise mandatée par la ville est passée pour faucher la berme et le talus. Il va s’en dire que sa mission se limite strictement au domaine public. Or l’employé a pris l’initiative de commencer à faucher le dessus du talus qui lui est une propriété privée. Il m’a indiqué qu’il avait passé un accord avec le riverain.

Il ne peut exister le moindre accord, probablement officieux, entre une entreprise dont le contrat d’intervention est limité au domaine public pour intervenir sur des propriétés privées. Sinon c’est l’ouverture d’une boite de Pandore sans aucune maitrise des travaux contractés. Cette situation est d’autant plus infondée que beaucoup d’autres espaces verts publics demandent à être tondus ou fauchés.
Pouvez-vous rappeler à notre prestataire ce strict respect du contrat passé. Pouvez-vous indiquer au riverain indélicat qu’il lui appartient de faire appel à un prestataire privé avec un engagement spécifique et de cesser de profiter de travaux fait par la collectivité publique pour résoudre ses problèmes privés. 

Cordialement

Le mépris par le silence fut une forme de réponse, car qui ne dit mot consent. Faut-il en déduire que les débats faits en conseil municipal n’ont aucune valeur ?
Ce manque de réaction ne peut qu’alimenter de légitimes interrogations. Que le lotisseur du lotissement Acacias 2 paie pour l’entretien de son bien. Que le riverain du chemin de Cloche-cul se paie les services d’une entreprise spécifique sans dévoyer des moyens municipaux.

Madame le Maire, il faut de toute urgence mettre fin à tous ces passe-droits. Allez-vous arrêter une fois pour toutes l’entretien des espaces verts privatifs ?

Réponse sur l’entretien d’un espace vert privé au chemin de Cloche-Cul
Monsieur Dallain notre Maire-délégué, ne comprend pas la remarque faite dans cette question diverse. Est-ce une réelle incompréhension ou bien est-ce une simulation ? D’un revers de manche, il a balayé notre question diverse la résumant à « un simple conflit » de voisinage.

Nous sommes habitués à ses positionnements toujours équivoques. Pour preuve, son attitude dans la restitution du chemin de Champagne dans le domaine public. D’abord, il préconisait de pactiser avec le riverain indélicat qui en avait illégalement pris possession. Une fois la restitution du chemin de Champagne acquise dans le domaine public (sans lui, ni la municipalité de l’époque), il ne put s’empêcher d’en réclamer une part du mérite à l’image du coche et de la mouche de la fable.

Mine de rien, monsieur le Maire-délégué a toujours approuvé et cautionné tous les dossiers douteux présentés madame le Maire ainsi que ceux du précédent maire monsieur Laporte. Il est approbateur ou réprobateur selon les circonstances ou selon ses interlocuteurs, allant toujours du bon côté. Il navigue ainsi au gré des vents, mais jamais par vents contraires. Cependant on le sent de plus en plus tracassé par ce vent majoritaire qui semble pour lui de moins en moins porteur.

Photo à l’appui, la société chargée de l’entretien des fossés des chemins publics a procédé à l’entretien d’une propriété privée. Seuls les fossés et leurs versants sont propriétés publiques, les terrains au dessus sont propriétés privées. A quoi bon nier l’évidence, sauf pour suivre un autre but ?

La population de Ducey-Les-Chéris se plaint d’une ville sale et peu entretenue. D’un côté, l’on ne peut entretenir correctement les espaces publics et de l’autre côté, vous avez une société travaillant pour la collectivité qui entretient un espace privé avec la validation tacite du Maire-délégué.
Pour expliquer son refus d’intervenir, il a remis en cause une limite incertaine du domaine public avec le domaine privé. Sauf que ceci a bien été documenté dans le remembrement de la commune de Les Chéris réalisé entre 1965 et 1968 : mauvaise pioche.

Ce qui gène le plus monsieur Dallain : « c’est la photo prise et diffusée et vous n’avez pas le droit ». Nous tombons dans le sordide, la photo a été prise sur une voirie publique. De plus la plaque d’immatriculation du tracteur n’est pas visible ce qui rend impossible l’indentification de son propriétaire.
Il poursuit par : « vous avez le droit de prendre une photo mais pas de la publier ». C’est sidérant, nous renvoyons monsieur le Maire-délégué à la lecture de ses propres publications dans le journal municipal où bons nombres de photos ont été publiées sans le consentement des personnes photographiées. Va-t-il aussi demander à tous les journaux de flouter toutes les photos de véhicules avant de les publier ? De l’irréfléchi l’on passe à l’absurde.

C’est alors qu’est intervenu monsieur Macé comme partie prenante puisqu’il exploitait une herbe fraichement coupée dans un champ du riverain. Il a toujours eu les deux pieds dans le même sabot. Mais pour une fois, pouvait-il s’en déchausser ?
– « Vos voitures le long du chemin bloquaient le passage du chemin Cloche-Cul. Le chemin communal était bloqué par vos voitures ».
– Monsieur Macé, c’est faux. Vous pouviez très bien passer avec votre tracteur. C’est d’ailleurs ce que vous avez fait.
« Est-ce que du coup le fait de ne pouvoir circuler ne peut pas être considéré comme un délit du bien public » (sic).
– Monsieur Macé il vous appartenait de prévenir la gendarmerie pour faire éventuellement dresser une contravention.

Hélas, il devient nécessaire de donner toutes les informations avant une intervention possible de la maréchaussée. Selon la Chambre d’Agriculture, un attelage agricole ne peut dépasser une largeur de plus de 2,55 mètres. Au-delà, il s’agit d’un convoi exceptionnel demandant des dispositions complémentaires et dans certains cas la présence d’une voiture-pilote.

Il n’y avait, ni dispositions particulières, ni voiture-pilote dans l’attelage conduit par monsieur Macé. La largeur de son tracteur n’excédait donc pas 2,55 mètres. Alors, qu’elle est donc la largeur disponible pour cheminer lorsqu’il y a une voiture de stationnée le long du chemin ?

La meilleure preuve est apportée par les photos ci-jointes : 3,25 mètres, ce qui laisse une marge d’au minimum 70 cm. Il donc ridicule d’affirmer que le chemin de Cloche-Cul était bloqué au point d’en informer la gendarmerie sauf si le conducteur du tracteur avait une trajectoire sinusoïdale à laquelle effectivement la gendarmerie aurait pu avec bonheur s’intéresser. Couper de l’herbe dans un champ n’induit pas pour autant une obligation d’en fumer, pour une conduite bien droite et sans « délit du bien public ». (sic)